Quel que soit le sport de haut niveau, une règle est immuable : une génération chasse l’autre et laisse place à de nouveaux talents. Dans l’hippisme, nous vivons le même phénomène du côté des entraîneurs.
Qui pourrait suppléer à André Fabre, Jonathan Pease ou encore Pascal Bary ? Deux noms viennent immédiatement à l’esprit : Christophe Ferland et Philippe Sogorb.
Quelles ont été leurs stratégies sportives et managériales pour atteindre le sommet ? Les fondations de leurs succès sont-elles suffisamment solides pour s’inscrire dans le temps ?